COMPAGNIE

BODECKER & NEANDER

avec

ALEXANDER NEANDER et WOLFRAM VON BODECKER

Mise en scène - LIONEL MÉNARD

Ils combinent à merveille mimique et mouvement

du corps dans un monde fascinant d'images, encore plus fantastique grâce

à des éléments de clown, de théâtre noir et de film muet

Badische Zeitung

… Déjà vu? Impossible ! Bodecker & Neander nous convient à une soirée riche en nouveautés dans laquelle nous redécouvrons les deux personnages tragicomiques, qui font le succès mondial de la compagnie depuis plus de dix ans, sous des traits éblouissants, flottant sur un voile de magie, de musique et d'illusions d'optique.

Sans un seul mot et presque sans accessoires, les deux complices parviennent à transporter le public dans un tourbillon d'émotions intenses, voguant ainsi tantôt sur les larmes du rire, tantôt sur les larmes du trouble.

Que l'on soit théatrophile averti ou théatrophobe convaincu, retraité, enfant ou jeune actif: cet évènement théâtral fascine et émerveille tout un chacun.

BODECKER & NEANDER furent les deux derniers assistants et partenaires de scène du légendaire Marcel Marceau et l'accompagnèrent jusqu'au dernier tomber de rideau.

Les deux artistes perpétuent la tradition du mime et renouvellent cet art à leur manière en transportant leur public cosmopolite (représentations dans près de 30 pays) au pays de songes fantastiques.

„…un monde d'illusions magnifiquement mis en scène

et un public à l'enthousiasme justifié …!“

Süddeutsche Zeitung - Allemagne

„ … ils enflamment les émotions...!“

Reforma -Mexique

„…De pures virtuoses...“

UUSI Aika- Finlande

Par dela des peripheriques ou bien dans les contres allées intramuros, dans chaqueville, chaque pays se déroule des aventures humaines incessantes. Dans ruelles éclairées au neon, sur les quais de gare anonymes, sous les enseignes de petits restaurants, a l'intérieur meme d'une loge d'opera se joue des tragicomedies mettant en scene des hommes et des femmes en quêter de vies meilleurs quitte a abandonner leur identité.

A la maniere d'un carnet de voyage sur tous les continents, allons a la rencontre ces êtres brillants qui comme des lucioles au milieu d un champ colore les villes de leurs désirs, les éclaires pour assouvir leurs pulsions. City Lights, on vous regarde.

Bodecker Neander ont toujours le meme plaisir, d'exposer au travers de fables et de contes les états d'âmes de gens ordinaires qui parce qu ils ont le focus en deviennent extraordinaires.

Mise en scène: LIONEL MÉNARD

Lumières: Werner Wallner

Assistante: Lina Rohde/ Irene Fas Fita

La Compagnie

· Wolfram von Bodecker et Alexander Neander fondent en 1996 le Théâtre Mimo Magique, après avoir été diplômés de l'„Ecole Internationale de Mimodrame de Paris“ dirigé par Marcel Marceau. Depuis 2006, ils ont adopté le nom de « COMPAGNIE BODECKER & NEANDER ».

· La première pièce SILENCE est récompensée à Berlin, à l'occasion du Festival de mime, où elle reçoit le Prix du public. La production suivante, OUT OF THE BLUE est un véritable succès auprès du public comme de la presse.

· Le duo invente le concept de « Visual Concert »: lors de représentations communes avec de grands ensembles musicaux tels que le Kammerorchester de Stuttgart, l'Arditti Quartet de Londres ou encore le GewandhausOktett de Leipzig, le public découvre l'alliance nouvelle et fascinante entre pantomime et musique.

· De multiples tournées internationales ont emmenéla compagnie BODECKER & NEANDER en Europe, en Asie et en Amérique du nord, Centrale et Latine. Grâce à la dimension universelle de leur théâtre visuel, les deux artistes se révèlent être des invités particulièrement appréciés lors de festivals internationaux.

· Auprès du metteur en scène Lionel Ménard, la compagnie réalise la pièce musicale BONJOUR MONSIEUR SATIE, une création unique et imaginaire à partir de la musique et sur la musique du compositeur français Erik Satie, véritable hommage à sa vie et à son œuvre. La pièce a été produite par la Konzerthausde Berlin et figure régulièrement au programme dans les grandes salles de concerts en Europe.

· En novembre 2007, la pièce musicale TULLES ET SON OMBRE joue en première à la Philharmonie de Luxembourg. Wolfram von Bodecker et Alexander Neander racontent l'histoire du jeune Tulles sur un mode poétique et imagé, accompagnés de l'Ensemble musical United Instruments of Lucilin, sur la musique du compositeur contemporain Martin Matalon.

· En février 2009, la compagnie répond à unsouhait fortement exprimé par le public : la désormais classique pièce à succès SILENCE se voit dotée d'une suite, intitulée DEJA-VU ?, qui fait sa première à Dresde.

Wolfram von Bodecker – Mime

Foto: © Kasia Chmura-Cegiełkowska, Wolfram von Bodecker — Foto: © Kasia Chmura-Cegiełkowska

Wolfram von Bodecker - Mime

Né à Schwerin en 1969, Wolfram suit très tôt des cours de magie auprès d'un professionnel et part seul en tournée avec son propre spectacle. En 1992, il s'installe en France et étudie 3 ans àl'„Ecole Internationale de Mimodrame de Paris, Marcel Marceau“. Il en sort diplômé en 1995. Marcel Marceau l'engage alors pour ses productions Un soir à l´Eden, Le Manteau, Le Chapeau Melonet Les contes fantastiques, qui seront représentées à l'international.

Foto: © Kasia Chmura-Cegiełkowska, Alexander Neander 2014 — © Kasia Chmura - Cegiełkowska

Alexander Neander – Mime

Alexander Neander est né à Paris en 1970.Il grandit à Stuttgart et vit ensuite plusieurs années en France. Dès l'âge de 12 ans, il commence à apprendre l'art du mime et décide de devenir acteur muet, cependant qu'une carrière de musicien s'offre à lui. Également diplômé de l'École internationale de Mimodrame de Paris, il est membre, de 1995 à 2005 de la compagnie Marcel Marceau et accompagne alors le maître de la Pantomime en tournée. Il est d'ailleurs jusqu'à la fin assistant permanent de Marceau lors de ses tournées solo.

Lionel Ménard – Metteur en scène

« En Mai 1968, j'avais à peine un mois, mes premiers spectacles c'était dans les marges des cahiers d'école, pas de mot, sans musique, juste des images que l'on dessinait pour séparer la dictée du calcul. Ces marges étaient un espace de liberté pas forcément narratif, des fenêtres entre les 26 fautes de la dictée et des 9X8=80. 40 ans plus tard j'ai la sensation d'en avoir fait mon métier ».